Combien faut-il de … pour changer une ampoule
J’avais toujours voulu connaître toutes les versions de cette blague, et comme je suis gentil tout plein, maintenant que je les ai trouvé, je vous les fait partager.
Evidemment, ce sont les versions qui me plaisent le plus que j’ai choisi, mais z’etes sur mon blog, donc ce que j’aime, vous devez l’aimer aussi, c’est compris ? Rompez, lecteurs.
– Combien faut-il de belges pour changer une ampoule ?
– 50 : Un qui tiens l’ampoule, 49 qui font tourner la maison.
– Combien faut-il de Super Sayiens pour changer une ampoule ?
– Un seul, mais ca lui prend 5 episodes
– Combien faut-il d’émo pour changer une ampoule ?
– Aucun, ils preferent rester dans le noir
– Combien faut-il de Siciliens pour changer une ampoule ?
– Trois. Deux pour changer l’ampoule, et un pour éliminer les témoins.
– Combien d’ingénieurs faut-il pour changer une ampoule ?
– Quatre. Un pour tenir l’ampoule, les autres pour savoir dans quel sens tourner (un pour calculer l’action de la force de Coriolis, un pour calculer les frottements dans la douille, et le dernier pour simuler tout ça sous Matlab).
– Combien de psychiatres faut-il pour changer une ampoule ?
– Un seul, mais il faut que l’ampoule ait vraiment envie de changer.
– Combien de programmeurs de chez Microsoft; faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucun, Bill Gates définit Microsoft Total Obscurity comme nouveau standard.
– Combien de surréalistes faut-il pour changer une ampoule ?
– Un poisson au pneu brûlé.
– Combien de blondes faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucune, il ne faut surtout pas les laisser faire, elles casseraient tout avec le marteau.
– Combien de programmeurs en C++ faut-il pour changer une ampoule ?
– Six. Le premier pour le faire, cinq autres six mois plus tard pour comprendre l’algorithme.
– Combien de machos faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucun. La salope peut bien faire la cuisine dans le noir.
– Combien de maris faut-il pour changer une ampoule ?
– On le saura dès qu’il se sera levé du divan et qu’il aura lâché sa canette.
– Combien d’amibes faut-il pour changer une ampoule ?
– 2, non 4, non 16, zut ! 32, 64, 128, 256 ….
– Combien de mécaniciens auto faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucun. Ils changent tout le lustre.
– Combien de joueurs de jeux de rôle faut-il pour changer une ampoule ?
– 1D6+2
Combien de joueurs de foot faut-il pour changer une ampoule ?
– Onze. Un pour la changer, et dix pour lui sauter dessus de bonheur en hurlant.
– Combien de programmeurs faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucun, c’est un problème de hardware.
– Combien de chômeurs faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucun, sinon c’est considéré comme un travail et l’ANPE les raye des statistiques.
– Combien de chirurgiens faut-il pour changer une ampoule ?
– Inutile. Ils sauvent l’ampoule par une greffe de filament.
– Combien d’intégristes catholiques faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucun. La Sainte Bible ne parle pas des ampoules.
– Combien de pessimistes faut-il pour changer une ampoule ?
– Quelle importance ? De toute façon la nouvelle claquera aussi un jour…
– Combien de sado-masochistes faut-il pour changer une ampoule ?
– Deux. Un pour la changer, un autre pour donner un coup de pied dans la chaise pendant ce temps.
– Combien de Belges faut-il pour changer une ampoule ?
– Sans importance. Le temps qu’ils comprennent, il fera déjà jour.
– Combien de membres du CNRS faut-il pour changer une ampoule ?
– Dix-sept. Un pour la changer, mais avant il a fallu un thésard pour prendre l’initiative, un directeur de recherche pour faire le bon d’achat, un directeur de labo pour le signer, une secrétaire pour le transmettre…
– Combien d’ingénieurs ENSIC faut-il pour changer une ampoule ?
– Aucun, il n’y a pas de poly à ce sujet. A la rigueur, on peut tenter de trouver une corrélation à 300% près…
– Combien de Présidents de la République Française faut-il pour changer le truc qui fait de la lumière ?
– Un, mais il faudra lui dire que ça s’appelle une ampoule.
– Combien de feministes faut-il pour changer une ampoule ?
– Une et ce n’est pas drole.
– Combien de policiers de L.A. faut-il pour changer une ampoule ?
– Six – un pour le faire et cinq pour frapper l’ampoule usée.
– Combien de clones de Dolly faut-il pour changer une ampoule ?
– Autant que vous voulez.
– Combien de linuxien faut-il pour changer une ampoule ?
– Normalement moins que sous Windows mais ils cherchent encore comment faire.
Combien de membres de forum faut-il pour changer une ampoule ?
– 1 pour changer l’ampoule et poster un message comme quoi l’ampoule a été changée
– 14 à partager des expériences similaires de changements d’ampoule et à dire comment ils auraient pu changer l’ampoule différemment
– 7 à avertir tout le monde à propos des dangers liés aux changements d’ampoule
– 1 pour déménager le sujet dans la section « Lumière »
– 2 s’obstinant pour transférer le sujet dans la section « Électrique »
– 7 pour corriger les fautes de frappe et de grammaire dans les messages déjà écrits
– 5 pour engueuler les correcteurs
– 3 pour corriger les fautes des engueuleurs
– 6 s’obstinant à savoir si nous ne devrions pas écrire changement d’ampoule ou changement d’ampoules
– 6 traitant ces derniers de stupides
– 2 professionnels du luminaire à informer le groupe que le terme exact est « globe lumineux »
– 15 je-sais-tout disant qu’ils étaient dans l’industrie aussi et que le terme « ampoule » est totalement acceptable
– 19 à écrire que ce forum ne parle pas de foutues ampoules et à demander de continuer cette discussion sur un forum d’ampoules
– 11 qui défende le sujet puisque tout le monde utilise des ampoules et que, par conséquent, ce sujet a tout à fait sa place sur ce forum
– 36 à débattre quelle méthode de changement d’ampoule est supérieure, où acheter les meilleures ampoules, quelle marque d’ampoule est la meilleure pour effectuer des changements d’ampoule et quelles marques sont à éviter
– 7 à poster des liens Internet où nous pouvons voir des exemples de différentes ampoules
– 4 à écrire que les liens Internet ne fonctionnent pas et à les corriger
– 3 à poster d’autres liens Internet plus utiles qu’ils ont trouvé en navigant sur les premiers liens donnés
– 15 personnes qui disent merci d’avoir posté ces liens… mais qui n’ont jamais cliqué dessus, car leur seul but était d’augmenter leur nombre de post de 1
– 13 qui mette en « quote » tous les messages déjà écrits, y incluant les titres et les signatures et rajoute un « moi aussi! »
– 5 qui écrive aux autres membres qu’ils n’écriront plus ici parce qu’ils ne peuvent pas supporter ces controverses à propos des changements d’ampoule
– 4 à dire « Il n’y a pas déjà un sujet à ce sujet écrit il y a quelques mois? »
– 13 à dire « Fais une recherche sur Google sur les ampoules avant de poster des questions sur les ampoules »
– … et 1 p’tit pas vite qui va revenir sur le sujet quelques semaines plus tard parce qu’il n’a pas suivi le premier sujet et qu’il n’a pas regardé dans les archives si ce sujet avait déjà été discuté.
Un blog ? Ben pourquoi faire ?
Ben oui, tiens, c’est vrai, ça, pourquoi faire un blog ?
Bon, avant toute chose, voici une quote tiré de bashfr qui illustre un peu le sujet :
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pis souvent les mecs comme ça, ils te prennent grave pour un con si tu as pas de skyblog
genre tu sais pas te servir d’un pc -_-
<Michas> oui
<Michas> C’est comme pour les antibiotiques :
« tu sais te servir d’internet ? »
<Michas> « oui »
« donc tu as un skyblog ? »
<Michas> « non »
« donc tu sais pas te servir d’internet… »
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Et une petite musique à écouter pendant la lecture. J’ai taché d’en prendre une qui allait plus ou moins avec l’article, ni trop triste, ni trop active.
Je pense que désormais, j’essayerais d’associer une musique à chaque article, pour agrémenter la lecture
Final Fantasy IX – Secret Library Daguerreo
Voila, maintenant qu’une des intros les plus pourris que j’ai réalisé est écrite, je peux rentrer dans le vif du sujet.
Je ne me suis jamais trop demandé quel désir je pouvais avoir, ou pouvais avoir les autres à créer leurs blog, mais je pense avoir quelques idées. Histoire de bien faire les choses, je vais vous exposer les possibles raisons en 4 points. Je ne les ai pas trié par ordre d’importance (un peu la flemme, et pis ça dépend de chaque personne), mais selon l’ordre dans lequel ils arrivaient dans ma tête (et oui, ma tête n’est pas toujours vide, étonnant, non ?)
1- Le besoin d’écrire
Ça, c’est surtout un besoin que j’éprouve moi-même. Bien que de nature plutôt scientifique (j’ai fait un Bac S, et j’aime bien tout ce qui est logique, etc), j’ai aussi un coté littéraire, mais pas au sens que peuvent l’entendre les enseignants (Si je suis bon en commentaire de texte et en philo ? Est-ce que la Wii est une super console ? Oui ? Ben moi je suis nul en commentaire et en philo en tout cas !). Donc j’aime bien lire (car je sais lire), et j’aime aussi parfois écrire (car je sais aussi écrire).
C’est parfois assez libérateur d’écrire, de coucher sur le papier (sur le clavier) ce que l’on peut penser ou imaginer. Il parait également que j’écris bien (et comme je fais des efforts, je crois les personnes qui m’ont fait ce compliment), ce qui, évidemment, ne fais qu’accentuer ce désir d’écrire.
Je pense que avec de la motivation et de la réflexion nécessaire, j’aurais pu tout à fait écrire une histoire (peut-être que je le ferais un jour ?). J’avais d’ailleurs tout un panel d’idée nouvelles pour réaliser un roman qui sortirait un peu du lot par son originalité, mais je ne me suis jamais posé trop sérieusement la question jusqu’à maintenant.
Et voila que je m’emballe, et que je me met à parler de n’importe quoi, il va être temps de clore ce point, je pense, passons au suivant.
2- Le besoin d’exister
Et oui, mine de rien, aussi pourri soit notre vie, on éprouve forcement ce besoin d’exister auprès des autres, de faire quelque chose de sa vie, n’importe quoi, mais en tout cas de montrer qu’on existe. C’est un peu aussi ce besoin que j’ai, je pense. Je n’ai pas de capacités spéciales ou hors du commun qui me permettent de m’affirmer plutôt qu’un autre. Je n’ai pas vraiment la possibilité de me démarquer, a moins de bosser très très durement sur un sujet particulier, et j’avoue que j’ai plutôt la flemme, ma feignantise prend le dessus sur ce besoin de reconnaissance. Donc, il me reste une alternative simple et efficace de me faire un (petit) nom sur Internet : Un blog.
Mais attention, pas un de ces pseudo-blogs où il ne s’agit que de raconter ma vie trépidante de no-life Nantais en proie a des névroses stupides, non, je parle d’un blog ou, à défaut d’autre chose, je donne mon avis sur divers sujets, je fais découvrir de nouveaux sites, j’essaye de donner le sourire aux personnes qui le liront, et, parfois, je m’en sers comme une sorte d’exutoire pour calmer le flot d’émotion et de pensée qui peut parfois m’assaillir.
Ce n’est donc pas un blog sur ma vie, mais plutôt sur mes pensées et mes avis, ce qui est globalement différent. Mais pourtant, a travers celui-ci, j’exprime mon besoin d’exister et de laisser ma trace dans ce monde. Ce n’est pas qu’un blog a mes yeux, c’est le mien, avec mes pensées et mes avis.
3-Le besoin d’être entendu/écouté/compris
Ce n’est pas le tout d’écrire des articles, encore faut il que quelqu’un les lise, et parfois les comprenne. Ce besoin n’est pas exactement identique au précédent. En effet, le besoin d’exister s’exprime surtout par le désir de laisser une trace sur Internet, qu’on soit lu ou non par la suite, notre trace est quand même présente. En revanche, le besoin d’être entendu est tout autre. En effet, rares sont les personnes qui aiment parler à un mur (quoi que les murs sont très gentils, ce sont mes seuls amis, à moi). J’attache donc de l’importance à savoir que, grâce a ce blog, quelqu’un « m’écoute », ou plutôt, ici, me lis, qu’il sache ce que je peux penser sur certains sujets. C’est un peu le fait de partager ses avis à d’autres personnes, d’échanger sa vision des choses.
Et dans le même ordre d’idée, qu’il puisse parfois me comprendre, qu’il sache quelles émotions je peux parfois ressentir (d’où l’utilité de savoir bien écrire), lorsque il m’arrive de faire des articles sur moi. C’est une sorte de thérapie de laisser a la vue de tout le monde ses propres faiblesses. Le blog étant lu par plusieurs personnes (enfin je crois ?), il est plus aisé de trouver qui parmi les lecteurs peut me comprendre et savoir ce que je peux ressentir, plutôt que d’en parler à plusieurs personnes, une à une, en espérant trouver dans son interlocuteur un miroir qui ferait écho a ses propres sentiments.
4-Le besoin de faire de nouvelles connaissances
C’est sympa de voir toujours les mêmes têtes, mais au bout d’un moment, les affinités changent, on s’entend moins bien avec certaines personnes, on désire en découvrir d’autres. Pour ça, il existe plusieurs moyens : Tchat IRC, Forum, Rencontre IRL (In Real Life), et, en derniers recours, les blogs.
Maintenant, prenons mon cas pour exemple (tant qu’a faire). Je ne fréquente pas les Tchat IRC, non pas que ca puisse me déplaire, mais je n’en ressens ni le besoin ni l’envie pour le moment. Bon, les rencontres IRL, en tant que No-life, je pense que ca peut se passer d’explication sur le pourquoi du comment.
Reste le forum. Certes, mais sur le forum où je suis actuellement, je n’ai que très peu d’affinités avec la plupart des gens présents (sauf quelques exceptions, où la, au contraire, j’ai énormément d’affinités). De plus, je ne fréquente ce forum qu’occasionnelement, et pour finalement ne rien dire en particulier.
Reste donc le blog. Sur celui-ci, les lecteurs peuvent apprendre à me connaître a travers mes articles, et je peux parfois apprendre à les connaître, a travers les commentaires (LACHAIS VEAU COMMZZZ, LOL). Et ceci organise donc une sorte de « tri » parmi toutes les personnes que je pourrais être amené à rencontrer, pour ne finalement garder que les personnes à qui je pourrais plaire, et qui, par réciprocité, pourrais également me plaire. Ce blog me permettra donc sûrement, dans l’avenir (pas pour le moment, car je connais la plupart des lecteurs), m’amener a rencontrer d’autres personnes qui partageront des idées communes avec moi.
Voila donc pour moi les raisons qui me poussent à faire un blog, et qui je pense, sont identiques pour la plupart des personnes faisant un blog à peu près équivalent au mien. Je ne parle donc pas des blogs plutôt techniques destinés par exemple aux nouvelles technologies, ou, au contraire, au blog de kikoo-lol qui consiste à ne poster que des photos et d’écrire en SMS, la plupart du temps sur un skyblog aux couleurs qui font saigner les yeux (oui, oui, je sais, je généralise, c’est pas bien, bouh caca, fouettez moi, en attendant, la plupart sont comme ca, même si y en a des biens).
Si vous voyez d’autres raisons qui pourraient vous pousser à faire un blog, n’hésitez pas à me les faire partager.
Et voila donc qui conclue cet article, de manière aussi minable qu’il a été commencé.
Ma solitude
Attention, cet article a été réalisé avec de vrais morceaux de dépression, il doit être manipulé avec précaution.
Il peut, selon la sensibilité, engendrer différents symptômes tels que suicide, crise de larmes, chute d’humeur, ennui, rire sadique ou neutralité.
Final Fantasy IX – You are not alone!
Pour une fois, le titre est en accord avec le contenu. En effet, je me sens seul. Cette solitude dure déjà depuis plusieurs années, elle n’est pas apparu d’un coup d’un seul.
Je tiens à le préciser tout de suite, quand je dis que je suis seul, je parle de solitude « physique ». Grâce à la magie d’Internet, je connais quelques personnes sur qui je peux compter, des personnes qui ont ma confiance (et c’est assez difficile de l’avoir, étant assez méfiant). C’est sûrement d’ailleurs grâce a ces personnes, qui comblent ma solitude morale, que ma solitude physique reste supportable la plupart du temps. Mais malgré ça, il n’y a personne a mes cotés. Je ne connais pas de vrais « amis » avec qui pouvoir sortir. Je connais, tout au plus, des gens que je côtoie, selon les circonstances (par exemple, entre 2 cours a l’IUT), mais pas des gens avec qui je pourrais dire, par exemple « Tiens, si on sortait, ce soir ? ».
Je me sens seul car si j’ai besoin de compagnie, je ne peux pas en avoir. Je dois attendre que les autres se souviennent de mon existence et m’accordent quelques minutes de leurs temps. J’avais acheté la Wii, pour m’occuper le Week-End, mais j’avais oublié a quel point c’était une console avec laquelle on joue rarement seul. Et c’est une fois acheté, que je me suis rendu compte à quel point je ne connaissais absolument personne que j’appréciais assez (et assez proche de chez moi, évidemment) pouvant partager quelques heures de jeu avec moi. Je reste condamné a jouer seul, comme je l’ai toujours fait. C’est d’ailleurs dans ces moments la que je découvre l’inutilité de mon téléphone portable. Les seuls SMS que je reçois proviennent presque tous de SFR, et les appels sont pratiquement toutes des erreurs de numéro.
Mais plus que tout, plus que le fait de me sentir seul sans ami, c’est le fait de me sentir seul sans amour qui me chagrine le plus. Voila plus de 20 ans que je suis célibataire. J’ai eu quelques rares périodes où je peux dire que j’étais « en couple », la plus longue ayant duré 3 semaines, mais ces périodes n’arrivent pas a me sustenter. J’ai besoin de quelqu’un a mes cotés, qui pourrait me conseiller et me réconforter, ou même simplement être la. Et j’ai besoin de réconforter quelqu’un et d’être la pour cette personne.
En plus de ressentir un grand besoin d’affection, je me morfond à l’idée de n’avoir personne à qui penser le soir avant de m’endormir, personne à appeler pendant quelques heures après une dure journée (ça m’arrive d’avoir des dures journées, même en tant l’informaticien !). Ce manque exacerbe évidement mes sentiments, ce qui fait, par conséquence, que je m’attache trop vite (amoureusement parlant, évidemment) à une personne avec qui une relation serait impossible, sans réfléchir. A partir de la, le cercle visqueux se forme, je me sépare de la personne aussi vite que je m’y suis attaché (toujours amoureusement parlant), et cette séparation ajoute un nouveau poids a ma solitude déjà pesante.
Voila donc un de mes nombreux complexe qui m’accablent au quotidien. J’ai bien conscience que cet article n’a sûrement rien d’intéressant pour vous, mais je pense qu’étant donné les événements que j’ai subis récemment, il m’était nécessaire de l’écrire, tout au moins pour me soulager, et imaginer qu’il existe peut-être des gens qui liront cet article et qui comprendront ce que je ressens.
C’est ainsi que je fais ma thérapie, qui est à mon goût plus avantageuse que de consulter des psys.